J'y suis j'y reste
J'y suis j'y reste
J'y suis j'y reste
Dans un château du Périgord, règne la despotique
comtesse Apolline de Mont-Vermeil. Tout ploie
devant elle son neveu Hubert, velléitaire et char
mant, Gisèle, la belle et ambitieuse demoiselle de
compagnie, Lucie, la jolie soubrette et Patrice, le
digne (?)majordome...
...Ce dernier, cynique, a donné à la Comtesse le goût des courses, afin d'encaisser ses paris. A l'impromptu, arrivent Antoinette Mercier, dite Nénette, « cousine » de Madame Sans-Gêne et Jules, gars costaud et sympa, barman du caboulot géré par Nénette et son fiancé.
Nénette, voulant épouser Jules, apprend avec stupéfaction qu'elle est déjà mariée avec le Baron Hubert de Mont-Vermeil
En venant au château des Mont-Vermeil, Nénette s'ima-ginait pouvoir divorcer. Il ne peut être question de divorce chez les Mont-Vermeil,,. et ce jour-là moins que jamais, car on attend la visite du Cardinal de Tramone. Mais Né-nette, qui décide de ne pas quitter le château avant d'avoir obtenu gain de cause, s'écrie:
« J'y suis... j'y reste ! »
avec la collaboration:
des Etablissements LOYER (Matériel ameublement).